Alternance à l'Enssat : elle résout l’équation du concret et de la théorie

Houda Grar, 22 ans, et Hugo Zahorsky, 24 ans (élèves-ingénieurs Enssat), ont respectivement passé un an et trois ans en alternance au sein de l’entreprise Cristalens, à Lannion.
(Photo Mathieu Le Maux/Le Télégramme)

 « Une vraie immersion dans le monde du travail »

(...) « La première motivation, c’était de connaître une vraie première immersion dans le monde du travail », témoigne Houda, Marocaine originaire de Casablanca, où elle a suivi une année de prépa maths physiques avant d’intégrer l’Enssat. « L’alternance, c’est aussi une application directe de ce que l’on apprend à l’École et le meilleur moyen de s’apercevoir que ce qu’on étudie est réellement utile et améliore la vie des gens. »

Déjà titulaire d’un BTS opticien lunettier lui aussi obtenu en alternance, Hugo, né à Saint-Nazaire, a lui aussi concrétisé ses aspirations : « Je souhaitais poursuivre dans une voie à la fois scientifique et proche de l’humain et mêlant la recherche, l’innovation et le « concret. L’alternance résout bien cette équation ».

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