Une équipe d'enssatiens (composée de Laurent Laluque, Emma le François, Omar Zorgati, Amélie Piveteau, Guillaume Chataignier et Nicolas Guyot + Florentin Molimard et Étienne Scholly comme « conducteurs ») ont été à Montbéliard, du 14 au 17 mai, pour la 10e édition du Festival du Film d'un Jour (FF1J).
Nicolas Guyot fait un petit bilan de leur aventure cinématographique : « Le but du festival était d'écrire, tourner et monter un court-métrage de 7 minutes maximum, le tout en moins de 50 heures sur un thème imposé : "Impression de déjà-vu" (...) Pas très inspirés tout de suite à vrai dire, nous avons dû nous y prendre à plusieurs reprises avant d'avoir une idée ainsi qu'une trame de film qui nous plaisaient vraiment. En tout cas le tournage s'est bien passé, nous y avons vraiment pris plaisir malgré la météo un peu capricieuse, avec son pesant de moments improbables, certains dignes d'une épreuve de teambuilding ;-) Mais au final nous avons passé la majeure partie en intérieur, dans une cave sombre et humide... Je n'en dis pas plus, je vous laisse regarder le film !
Nous avons rendu ce film avec une petite demi-heure d'avance et un résultat dont nous sommes fiers, tant sur le contenu que du côté de la qualité technique (comme nous l'ont fait remarquer certains, par rapport à l'année dernière). Cela n'a pour autant pas fait pencher la balance en notre faveur car nous n'avons reçu, cette année, aucun prix. Cela peut paraître comme une "expression de perdant" mais de toute façon, nous n'étions pas venus pour gagner ! La concurrence était rude, et les différents gagnants ont vraiment mérité leurs prix ! Et puis quand je dis "aucun prix" je ne suis pas totalement exact, car l'équipe Com' du festival nous a décerné le "Tweet d'Or" de cette édition pour notre activité sur les réseaux sociaux ! Voir https://twitter.com/FF1J/status/599722506472284160
D'une manière générale tout s'est vraiment très bien passé. L'organisation était au top, l'ambiance entre les équipes était vraiment très cordiale (à quoi bon être désagréable si l'on est tous dans la même galère ?) et le manque de sommeil a été notre compagnon de festival... aux côtés du café. Nos pilotes ont été extraordinaires, et tout cela cumulé fait que nous nous souviendrons longtemps de cette édition du FF1J ! Et comme tout le monde se le dit en fin de festival : "merci et à l'année prochaine ! »