De gauche à droite Élisa Grondin, Titouan Heyrendt, Mathilde Gressier, Maxime Baclet et Noé Lansigu font partie des étudiants qui s’investissent dans la lutte contre le sexisme. (Le Télégramme/Noa Jacquet) |
(...) les grandes écoles n’ont pas été épargnées par les violences sexistes et sexuelles au sein des promotions. À l'Enssat, à Lannion, les élèves ont décidé de se saisir du problème à bras-le-corps... Lire l'intégralité de l'article sur Le Télégramme.fr