Vue artistique d'un satellite de LISA. © AEI/MM/exozet |
C’est la réponse à cette question que sont venus chercher les élèves-ingéneur·e·s en photonique de l'Enssat lors d’une conférence passionnante donnée par Matthieu Laporte, ingénieur de recherche au laboratoire d’astroparticule et cosmologie du CNRS.
Matthieu Laporte |
Matthieu travaille depuis plusieurs années sur ce projet piloté par l’agence spatiale européenne (ESA). Il a expliqué les nombreux défis que posent la réalisation d’un tel instrument et a suscité beaucoup de questions dans l’assistance.
Depuis la première détection d’ondes gravitationnelles en 2015, le développement de détecteurs d’ondes gravitationnelles toujours plus performants « ouvre un nouveau champ d’observation de l’univers » explique Matthieu, « c’est comme si on assistait enfin à un concert avec le son, pas uniquement l’image » se plait-il à ajouter.
Le détecteur d'ondes gravitationnelles LISA. © CC |